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4 Mots Sur Un Piano
Hard
by Patrick Fiori & Jean-Jacques Goldman
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Quatre sur un piano
qu'elle a laissés
Quatre c'est de trop
Je sais compter
vents sur un passé
Mes rêves envolés
qu'aurait donc cet autre que je n'ai ?
Ne le saurai-je jamais
Cas très banal, cliché
Dénouement funeste
Trois moins qui s'en vont
Ça fait moi qui reste
Caresses, égards et baisers
Je n'ai pas su faire
La partager me Lucifer
Depuis je rêve d'enfer
Moi j'aurais fait pour elle
Pour un mot
Que lui l'autre que je n'offrirais ?
Elle était mon vent, mes ailes
Ma vie en plus beau
Etait-elle trop ou suis-je trop sot ?
N'aime-t-on assez ?
Quatre années belles à pleurer, maigre résumé
Cartes jouées la reine s'est cachée
Quatre millions de silences
De qui dansent
Les questions, les soupirs et les sentences
Je préférais ses absences
Moi j'aurais tant elle
Pour boire à son eau
Que lui l'autre que je n'offrirais ?
Elle était mon vent, mes ailes
Ma vie en plus beau
Mais était-elle trop belle
Ou trop sots ?
N'aime-t-on jamais assez
Vous étiez ma vie comme la nuit et le jour
Vous deux, nouez, mon parfait amour
Un matin vous m'avez condamnée à choisir
Je ne vous aimais qu'à deux
Je vous laisse, adieu
Choisir serait nous trahir
Mais qu'aurait donc cet que je n'ai ?
Ne le saurai-je jamais ?
La partager me soufflait Lucifer
Depuis je rêve d'enfer
qu'elle a laissés
Quatre c'est de trop
Je sais compter
vents sur un passé
Mes rêves envolés
qu'aurait donc cet autre que je n'ai ?
Ne le saurai-je jamais
Cas très banal, cliché
Dénouement funeste
Trois moins qui s'en vont
Ça fait moi qui reste
Caresses, égards et baisers
Je n'ai pas su faire
La partager me Lucifer
Depuis je rêve d'enfer
Moi j'aurais fait pour elle
Pour un mot
Que lui l'autre que je n'offrirais ?
Elle était mon vent, mes ailes
Ma vie en plus beau
Etait-elle trop ou suis-je trop sot ?
N'aime-t-on assez ?
Quatre années belles à pleurer, maigre résumé
Cartes jouées la reine s'est cachée
Quatre millions de silences
De qui dansent
Les questions, les soupirs et les sentences
Je préférais ses absences
Moi j'aurais tant elle
Pour boire à son eau
Que lui l'autre que je n'offrirais ?
Elle était mon vent, mes ailes
Ma vie en plus beau
Mais était-elle trop belle
Ou trop sots ?
N'aime-t-on jamais assez
Vous étiez ma vie comme la nuit et le jour
Vous deux, nouez, mon parfait amour
Un matin vous m'avez condamnée à choisir
Je ne vous aimais qu'à deux
Je vous laisse, adieu
Choisir serait nous trahir
Mais qu'aurait donc cet que je n'ai ?
Ne le saurai-je jamais ?
La partager me soufflait Lucifer
Depuis je rêve d'enfer
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