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A Nos Souvenirs 
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de Trois Cafés Gourmands
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Comment puis-je oublier,
ce coin de paradis,
ce de terre
où vit encore mon père ?
Comment pourrais-je faire
me séparer d’elle
oublier qu’on est frères,
belle Corrèze ?
Oublier ce matin,
que je suis parisien,
que y a de l’eau dans le vin,
que je suis parti loin,
Ce n’était pas de ma faute,
on joue des fausses notes,
on se trompe de chemin
et on a du chagrin,
On se joue tout un drame,
on a des vagues à l’âmes,
on a du mal au cœur,
on a peur du bonheur .
Acheter des tableaux
et des vaches en photos,
c’est tout ce que t'as trouvé,
pour te la rappeler .
Vous m’trouvez un peu con,
n’aimez pas ma chanson,
vous me bizarre,
un peu patriotard.
Le fruit de ma réflexion
ne personne,
si vos pas ne résonnent jamais
dans ma région .
C’est pire qu’une religion,
au-delà d’une confession,
je l’aime à en mourir,
pour le meilleur et pour le pire !
Et si je monte au ciel,
y aura peut-être Joël,
Guillaume et Jérémy
et mon cousin .
Yoann sera en voyage,
dans un autre pays ;
« Allez fais tes bagages,
viens rejoindre tes amis ! »
On veut du Clody Musette
à en perdre la tête,
on veut un dernier chabrol,
un coup de gnôle,
Les yeux de nos grand-mères,
la voix de nos grands-pères,
l’odeur de cette terre,
vue sur les Monédières .
C’est pire qu’un testament,
au-delà d’une confidence,
on est des petits-enfants
de ce coin de France .
Enterrez-nous vivants,
bâillonnés s’il le faut
mais prenez soin avant
de remplir jabot .
La relève est toi,
notre petit Lucas
on t’laisse en héritage
la piste, on dégage .
Le temps nous a gâté,
on en a bien profité,
on a des souvenirs, en tête .
« Ce faisons la fête ! »
Acceptez ma rengaine,
elle veut juste dire je t’aime,
soyez sûrs j’en suis fier,
j’ai la Corrèze en cathéter .
D’être avec vous ce soir,
j’ai le Cœur qui pétille,
sers-nous à boire,
on a les yeux qui brillent …
ce coin de paradis,
ce de terre
où vit encore mon père ?
Comment pourrais-je faire
me séparer d’elle
oublier qu’on est frères,
belle Corrèze ?
Oublier ce matin,
que je suis parisien,
que y a de l’eau dans le vin,
que je suis parti loin,
Ce n’était pas de ma faute,
on joue des fausses notes,
on se trompe de chemin
et on a du chagrin,
On se joue tout un drame,
on a des vagues à l’âmes,
on a du mal au cœur,
on a peur du bonheur .
Acheter des tableaux
et des vaches en photos,
c’est tout ce que t'as trouvé,
pour te la rappeler .
Vous m’trouvez un peu con,
n’aimez pas ma chanson,
vous me bizarre,
un peu patriotard.
Le fruit de ma réflexion
ne personne,
si vos pas ne résonnent jamais
dans ma région .
C’est pire qu’une religion,
au-delà d’une confession,
je l’aime à en mourir,
pour le meilleur et pour le pire !
Et si je monte au ciel,
y aura peut-être Joël,
Guillaume et Jérémy
et mon cousin .
Yoann sera en voyage,
dans un autre pays ;
« Allez fais tes bagages,
viens rejoindre tes amis ! »
On veut du Clody Musette
à en perdre la tête,
on veut un dernier chabrol,
un coup de gnôle,
Les yeux de nos grand-mères,
la voix de nos grands-pères,
l’odeur de cette terre,
vue sur les Monédières .
C’est pire qu’un testament,
au-delà d’une confidence,
on est des petits-enfants
de ce coin de France .
Enterrez-nous vivants,
bâillonnés s’il le faut
mais prenez soin avant
de remplir jabot .
La relève est toi,
notre petit Lucas
on t’laisse en héritage
la piste, on dégage .
Le temps nous a gâté,
on en a bien profité,
on a des souvenirs, en tête .
« Ce faisons la fête ! »
Acceptez ma rengaine,
elle veut juste dire je t’aime,
soyez sûrs j’en suis fier,
j’ai la Corrèze en cathéter .
D’être avec vous ce soir,
j’ai le Cœur qui pétille,
sers-nous à boire,
on a les yeux qui brillent …
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